| Beautiful wife Ven 12 Jan - 19:11 |
| Kiss me hard before you goPoppy Collins (libre/tenté/pris) (♂) 34/35 ans | métier | mariée à Tate depuis huit ans et maman d'une petite fille de cinq ans, Lola Poppy est sa meilleure amie depuis toujours, son pilier. Ils se sont rencontrés à la maternelle et ne se sont plus quittés depuis. Elle le connaît par cœur, elle sait tout de lui : son enfance, son père violent, sa mère absente, tout. Ils ont mis du temps avant de s’avouer leurs sentiments. Tous disaient qu’ils finiraient mariés mais eux n’y croyaient pas, jusqu’à ce qu’ils se mettent ensembles quand ils avaient 23/24 ans. Ils ont fini par se marier et avoir une fille, Lola. Elle est la prunelle de leurs yeux. Ensembles, ils forment un couple que beaucoup envient, un duo complice et aimant. Mais l’accident de Lola a tout fait basculer. La petite a glissé dans les escaliers et est tombée dans le coma il y a deux semaines, depuis plus rien ne va entre Poppy et Tate. Il culpabilise et elle ne cesse de lui dire qu’il est responsable, parce qu’il faut bien un coupable. Alors Tate passe le plus clair de son temps à l’hôpital et fui la maison –et donc sa femme.
C’est un résumé très très bref de leur histoire, mais je vous mets en-dessous la partie de mon histoire où je parle d’eux deux.
Niveau caractère, Poppy est une femme adorable et douce. Mais elle a son petit caractère et n’hésite pas à répondre. Disons que c’est une crème mais qu’elle sait répliquer quand ils se disputent.
- Voici l'histoire de Tate si vous voulez en savoir plus ♥:
C’était leur deuxième jour d’école à la maternelle, et ils s’étaient tous les deux retrouvés dans le coin légo pendant que les autres enfants étaient en train de courir à travers la classe et de chahuter. De loin, on aurait pu croire à un frère et sa sœur, tous les deux blonds, la peau encore brunie par le soleil d’été. Ils se faisaient face sans se regarder, à genoux sur le tapis en mousse, les mains remplies de rectangles aux multiples couleurs. Et puis c’est lui qui avait brisé le silence, parce que le matin-même, sa maman lui avait expliqué à quel point il était important de se faire des copains à l’école. Alors le petit blond, encore grassouillet de par son âge, avait pris son courage à deux mains et s’était lancé. « Tu veux faire une tour avec moi ? » La blonde avait hoché la tête, étonnée qu’on lui adresse la parole. Il n’avait eu pour seule réponse qu’un « hm hm » quasiment inaudible, mais ça lui avait suffi. Alors ils s’étaient tous les deux lancés dans la confection d’une tour. Et puis chaque jour, pendant plusieurs mois, ils s’étaient retrouvés là, à la même heure, construisant une tour, puis deux, puis un château, des remparts, une palissade. Ils s’étaient créés leur monde, tout cela, sans jamais échanger un seul mot. Et puis un jour, il avait posé la question qui le taraudait depuis plusieurs mois maintenant. « Pourquoi tu ne parles jamais ? » Elle avait relevé la tête de sa construction et l’avait fixé sans rien dire. Il la regardait lui aussi, attendant impatiemment sa réponse. Et alors qu’il avait laissé tomber tout espoir d’entendre un jour sa voix, elle avait répondu. « Tu veux qu’on échange nos lunettes ? » Il avait hoché la tête et chacun avait pris la paire de l’autre. L’un myope, l’autre hypermétrope, ils furent tous les deux surpris par un si grand changement et tentèrent de se regarder à travers leurs nouveaux verres, morts de rire. Après cela, elle était devenue sa meilleure amie, « sa personne favorite » comme il disait. Ils se voyaient chaque jour à l’école, s’invitaient à leur anniversaire et parfois même le week-end, ils regardaient les dessins-animés ensemble, jouaient à la balançoire, aux devinettes et aux cartes. D’un coup, dans un éclat de rire, elle était devenue son monde et il était devenu le sien. Ils avaient grandi ensemble, mûri ensemble, ils s’étaient construits, avaient stressés avant leur rentrée au lycée, tous les deux comme toujours. Ils avaient chacun assisté aux compétitions sportives de l’autre et puis ils s’étaient même promis d’être témoin au mariage de l’autre.
Les années avaient passé et ils étaient toujours aussi proches, aussi complices et inséparables. Ils se connaissaient par cœur, commandaient pour l’autre dans les fast-foods. Leurs cadeaux étaient toujours surprenants, inattendus mais tellement plaisants. Leurs parents rigolaient souvent en disant qu’un jour ils finiraient mariés. Ils avaient résisté à tout, à l’adolescence et aux histoires de cour de récréation, à l’éloignement crée par la différence de classe et aux multiples conneries qu’ils avaient pu faire ensemble. Mais malgré tout cela, il y avait eu des chamailleries entre eux, lorsqu’ils n’étaient encore que des enfants, des disputes lorsqu’ils étaient au lycée et parfois même des divergences d’opinion, plus tard, dans leurs études. Comme cette fameuse soirée du bal de promo auquel elle ne voulait pas insister, ce bal où il l’avait presque emmené de force, lui promettant de passer une bonne soirée, de s’amuser et de ne pas se prendre la tête. Il lui avait assuré qu’ils iraient tous les deux sans cavalier(e)s et qu’ils s’amuseraient sûrement plus que les autres. Alors elle l’avait cru, et elle l’avait suivi là-bas, dans une robe sublime qu’elle s’était payée avec ses économies. Et il n’avait pas menti, ils avaient passé une soirée formidable, s’amusant comme des fous, chantant, dansant, buvant jusqu’à n’en plus vouloir. Et puis elle l’avait perdu de vue à travers la piste de danse, embarqué par un jeune homme mignon et plutôt bon danseur. Elle s’était amusé avec lui aussi, elle avait rigolé et elle avait aimé ça. Et puis finalement, elle avait cherché son meilleur ami pendant au moins une heure. Elle avait bousculé les gens à travers la piste de danse, elle avait fait le tour des toilettes et même des vestiaires, au cas où il aurait tâché sa chemise, elle avait pensé à tout. Et puis elle avait fini par le trouver, dehors, adossé contre le mur, embrassant une blonde qui partageait son cours de littérature étrangère. Elle n’avait pas réfléchi et avait déclaré d’un ton sec « c’est ça que tu appelles une soirée rien que nous deux, sans cavaliers ? » Elle le regardait méchamment, les bras croisés sur sa poitrine. Il s’était décollé du mur et avait ramené la blonde un peu plus vers lui. « Une soirée sans cavalier oui. Rappelles moi ce que tu faisais quand je suis parti ? Tu dansais ! Avec qui ? Avec ce crétin de Gillian. » Elle avait serré la mâchoire, il n’avait pas tort, mais elle était trop fière pour l’avouer, et sûrement trop furieuse pour relativiser. Alors elle était partie, elle était rentrée chez elle et avait été se coucher, énervée. Le lendemain, quand sa sœur, alors âgée de six ans, lui avait demandé comment s’était passé son bal, elle avait juste secoué la tête. « Laisses tomber bébé. » Finalement, ils s’étaient réconciliés, quelques semaines plus tard. Il lui arrivait encore de temps en temps de reparler de cette « pimbêche », mais à chaque fois il mentionnait ce « crétin » et chacun préférait se taire plutôt que s’énerver. Leur amitié avait traversé des choses, ils avaient tenu tout ce temps, toujours aussi attachés l’un à l’autre.
Plus de dix ans après, ils étaient mariés et avaient une fille. Lola, la princesse de leur vie, le rayon de soleil de leur quotidien. Lola avait illuminée leur vie, leur couple, elle était le fruit de leur amour, de leur amitié, de leur complicité et bien plus encore. Lola, cette petite blonde aux yeux bleus et au sourire enfantin, cette petite fille qui rêvait d’être chanteuse avant que ça vie ne bascule. Et puis un soir il y avait eu cet accident, ce stupide accident, ce n’était la faute de personne, comme la plupart des accidents. Elle avait perdu l’équilibre, son petit pied loupant la première marche des escaliers, sa chaussette ayant glissé sur le sol en bois. Elle avait terminé sa chute dans un immense fracas et son petit corps gisait inerte en bas, dans l’entrée. Depuis, elle ne s’était plus réveillée, plongée au départ dans un coma artificiel pour qu’elle puisse guérir plus rapidement et sans douleur mais elle ne s’était pas réveillée. Elle ne se réveillait plus et ils attendaient, patiemment. Ils attendaient de retrouver leur bébé, leur toute petite fille. Plus les jours passaient et plus ils désespéraient d’entendre à nouveau sa petite voix cristalline. La petite avait été hospitalisée peu avant la nouvelle année et depuis plus rien n’allait. Elle, ne cessait de crier et de pleurer, l’accusant de ne pas l’avoir assez bien surveillé, l’accusant de tout et de n’importe quoi, de ce que seul le destin aurait pu prévoir. Lui, s’éloignait, sombrant un peu plus chaque jour, se rapprochant un peu plus d’être cet homme qu’il haïssait tant.
avatars : Brittany Snow (♡), Hilarie Burton, Sophia Bush, Candice Accola, Emilia Clarke, Jessica Capshaw, Leighton Meester, Blake Lively, Jennifer Morrison, Priyanka Chopra, Gal Gadot, Meghan Ory..
- Spoiler:
Salut toi Déjà merci de t'être intéressé à Poppy, c'est un lien vraiment très important pour mon Tate Son histoire est libre tant qu'elle respecte le lien avec Tate (c'est-à-dire leur enfance commune). Son prénom est également libre, mais j'aimerais quelque chose d'originale si possible Vous pouvez descendre son âge à 34 ans mais il faudra qu'elle ait sauté une classe pour avoir toujours été avec Tate J'ai mis des actrices qui peuvent correspondre à l'idée que je me fais de Poppy (un visage doux mais pas trop enfantin) mais attention à bien vérifier dans le bottin avant de faire votre choix. En ce qui concerne l'évolution du lien, je n'ai rien prévu et j'aimerais qu'on voit ça ensemble, au fil de nos sujets. Ce qui est sûr c'est que Tate aime sa femme et sa fille plus que tout, qu'elles sont sa famille et qu'ils en mourraient probablement s'il les perdait. En espérant te voir bientôt parmi nous
|
|